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Section :
Quartier AlbertParc Albert
Quartier Parc Albert
Photo(s)
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[+35 photos dans les sous-sections ci-dessous]
Sous-sections :
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parc Albert (Ganshoren) |
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Avenue Mathieu De Jonge |
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5 |
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Square de la Diligence | |
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7 |
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Avenue des Troubadours | |
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5 |
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Avenue des Quatre-Vingts Hêtres | |
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3 |
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Square des Oriflammes | |
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3 |
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Avenue Richard Mazza | |
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Square des Privilèges | |
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1 |
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Avenue Henri Feuillien | |
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1 |
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Clos des Tarins |
Classement de la section:
Les communes > Ganshoren > Quartier AlbertDescription (historique/actualité/....) :
Le Parc Albert, construit par Etrimo entre 1957 et 1966, est considéré comme le "beau quartier" de Ganshoren.
Ce quartier entoure par le Nord et l'Est le domaine du château de Rivieren. Il est délimité par le chemin de fer au Nord, l'avenue des Troubadours à l'Est, l'avenue Verdi, la drève du Chateau, l'avenue des Quatre-vingt Hêtres et l'avenue Henri Feuillien et le Clos des Tarins. Il n'est accessible en voiture que par l'avenue Mathieu de Jonge. En structure de grappe de raisin, il contient le square des Privilèges, l'avenue Richard Mazza, le square des Oriflammes, le square de la Diligence et le parc Albert Ganshoren proprement dit.
"Les logements du parc Albert s'étendent sur les terrains que le premier PGA [de 1957] destinait à l'aménagement de la plaine de sport. Leur propriétaire, la famille de Villegas, les concéda directement à la société Etrimo, bien connue pour ses techniques de vente sur plan. Les candidats acquéreurs pouvaient donc choisir la forme de leur logement dans une gamme prédéfinie de typologies répondant aux noms évocateurs de «Notre Nid» ou «Mon Rêve», dessinées par l'un des architectes de la société, F. Draps. Le quartier fut conçu en trois phases et en étroite concertation avec le service des Travaux publics. Trouvant le dessin du plan de la première phase (terminée en 1961) autour de l'avenue Mazza trop pauvre et rigide, De Coster proposa d'incurver le tracé de l'avenue des Quatre-vingt Hêtres qui organisait la seconde phase. Il fit de même pour la troième phase (qui ne vit jamais le jour). Ces deux plans illustrent bien l'idée de l'habitat dans la verdure, par petits groupes de maisons, à la recherche d'un équilibre entre émancipation de l'individu et vie collective, basée sur les solidarités spontanées de voisinage et la présence régulière de parcs publics et d'équipements locaux."
Source: Ganshoren entre ville et nature, patrimoine.brussels
La troisième phase ne vit jamais le jour sous la forme initialement projetée et fut remplacée sur le plan de 1967 par la construction d'immeubles sociaux, sur le prolongement de l'av. des 80 Hêtres rebaptisée av. Joseph Peereboom et coupée du Parc Albert par des bacs à fleur pour empêcher le transit de voitures.
En annexe le plan initial de 1957 dont il faut retenir la moitié Nord (délimitée par des doubles rangées de grands arbres encore présents aujourd'hui) à l'exception des zones rouges déjà construites (av. Verdi et Beethoven).
